Daddy Mojo : des guitares en boites à cigares pour jouer le blues

(clic sur l'image)

Lenny Piroth-Robert, jeune luthier canadien, redonne un son vintage au blues en fabriquant des guitares comme jadis, à partir de boites à cigare. Le son est bluffant, le prix abordable. 

Etonnant n'est-ce pas? en visitant un site de musiciens ( musiciens biz), je suis tombée sur ce Monsieur! Alors j'ai écouté (évidemment!) puis je suis allée sur son site,  c'est assez fabuleux ce qu'il fait avec des boites de cigares!!
Mais je vous conseille d'aller voir vous-même sur le site  ► https://daddymojocbg.com

En attendant je vous propose une petite démo....

Pas de torticolis ?... bon un autre petit morceau

Et là, il explique

Impressionnant ce que l'on peut faire avec des boîtes à cigares non ?

Amis fumeurs, mettez-vous aux cigares! 

Vous pourrez recycler les boîtes... et devenir marchands de guitares lol...!!!

Ce livre a été porté à l'écran récemment, j'avoue que l'histoire en est très fidèle, j'ai aussi beaucoup aimé le film.

Avec sa prose mordante et ses personnages insolites,Muriel Barbery a fait une entrée fracassante dans le club des auteurs à succès.
Son premier roman sorti en 2002,"Une gourmandise"dans lequel un critique gastronomique à l'agonie est en quête d'un goût inconnu, rencontre un succès fulgurant. Muriel Barbery sort en 2006 un second livre :"L' Elégance du hérisson". Elle y raconte les destins croisés d'une concierge férue de culture, d'une petite fille bourgeoise et d'un riche Japonais.
Avec cette satire sociale à l'humour tendre, Muriel Barbery conquiert un public de plus en plus grand et s'impose comme un écrivain majeur de la littérature populaire.
Muriel Barbery prend le temps de nous faire partager sa passion pour le Japon dans un roman très… parisien !
"L’Elégance du hérisson" joue avec les paradoxes grâce à des personnages discrets mais surprenants, drôles, profonds, sensibles, philosophes.
Le hérisson élégant, c’est Madame Michel qui a perdu son chat Léon, hommage à Léon Tolstoï. Concierge de son état, cette quinquagénaire mal léchée, rude et secrète, est passionnée de littérature russe et de cinéma japonais. (source evene)

-"Je m'appelle Renée, j'ai 54 ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois.

Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth.
Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants".

-"Je m'appelle Paloma,j'ai douze ans,j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte.
Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même.
C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai."