• Un peu plus bas, dans ma rue,

    elle court sur les murs, leur apportant un peu de douceur  

    en les tapissant de sa jolie couleur mauve...

    La glycine fleurit en mai.

    Ses longues grappes retombent avec élégance,

    fontaines de fleurs papilionacées,

     parfois délicatement parfumées,

     violettes ou vieux rose,

     blanches, bleues, bleu violacé...

    ~~~

    Les fleurs s’épanouissent par étape à partir de la base de la grappe.

    La floraison s'étale d'avril à juin, selon les variétés et l'exposition.

    Beaucoup de glycines épanouissent leurs fleurs avant l’apparition du feuillage,

    ce qui les rend encore plus spectaculaires.

    ~~~

     


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     "La passerelle" c'est le titre du livre que je viens de terminer, écrit par Lorrie More...

    Lorrie Moore est née en 1957 aux États-Unis où elle enseigne la littérature.

    La signature spécifique de Lorrie Moore, consiste en un subtil, piquant et reconnaissable dosage d'ironie,

    de cruauté et d'empathie dont témoignent ses recueils de nouvelles : Vies cruelles, Des histoires pour rien, Déroutes...

     

    LA PASSERELLE...

    Petit résumé du livre :

     

    Elevée dans une ferme du Midwest, Tassie Keltjin s'installe en ville pour ses études. Cette vraie 'country girl' n'a jamais pris l'avion, sait à peine ce qu'est un taxi et n'a jamais franchi la porte d'un restaurant chinois. Elle a 20 ans et tout à découvrir.

    Elle plonge avec euphorie dans ce tourbillon de nouveautés : le campus, les cinémas, les longues discussions entre amis... Mais cette Amérique qui l'enchante, loin de l'univers où elle est née, est en pleine crise.

     

    Tassie mène une vie insouciante. Entre les cours et les copains, elle est la baby sitter de Mary-Emma, une adorable métisse. Tout juste adoptée, la fillette ne passe pas inaperçue : les regards sont lourds, les injures pleuvent et ses parents, de plus en plus étranges, la rejettent peu à peu.

    Bouleversée, Tassie découvre le visage sombre d'une Amérique où l'hypocrisie se mêle au racisme ordinaire.

     

     

     

    "Une écriture pleine de drôlerie mais qui gratte jusqu'à la tragédie les faux-semblants d'une Amérique désenchantée."

    (la quinzaine littéraire)

     

     

     

     


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